L’idée de départ

Dune avait 11 ans quand tout a commencé.

Une partie de sa famille est originaire du Sénégal et elle va tous les ans dans le village de pécheurs de Toubab Dialaw
Une année elle découvre une petite école au milieu de la brousse.
Une école belle, vivante, mais avec peu de moyens.
Des classes en terre, des enfants motivés, des professeurs passionnés… mais pas assez de matériel, pas assez d’espace, pas assez de tout.

Elle rencontrer Patricia Gomez une artiste comedienne qui dirige l’ecole avec Allesandro son maris Italien. Ils ont un centre d’art qu’il etendent pour ajouter une ecole 

Dune rentre en France avec son projet en tête.
Elle en parle à son école Montessori, à ses éducatrices, à ses amis.
Très vite, une idée simple et forte s’impose :

On pourrait aider.

Pas sauver.
Pas remplacer.
Aider.
À hauteur de ce qu’une enfant peut faire… et de ce qu’une communauté peut construire.

Le premier élan

Ce premier geste devient une chaîne :

• les enfants de son école scannent, fabriquent, trient du matériel ;
• des parents se mobilisent ;
• des éducatrices acceptent de partir former les enseignantes sur place ;
• 150 kg de matériel sont préparés et emballés.

Le voyage se prépare comme une fête.
Et comme un défi.

Une graine qui a poussé

L’idée de Dune n’était pas un “one shot”.
Elle voulait transmettre ce qui l’avait aidée à grandir :
l’autonomie, la pédagogie, la confiance, l’envie de comprendre.

Cette graine est devenue la Caravane de Dune.
Et elle continue de pousser, voyage après voyage.